Rencontre rapprochée du second type (RR2) à Saint-Omer,
département du Pas-de-Calais (62), région des hauts-de-France.
Reconstitution des faits à partir des éléments transmis par le témoin avec l’aimable intercession de Romain L. auprès de qui nous avions déjà recueilli le témoignage de deux observations OVNI survenues dans la région de l’Oise (Voir compte rendu dans le volet « Enquêtes » du site).
Le récit de l’observation :
Nous sommes sur l’agglomération de Saint-Omer, département du Pas-de-Calais (62), région des hauts-de-France aux alentours de septembre/Octobre, probablement en 2009.
Le témoin se tient avec des amis, constituant un groupe de 4 à 5 personnes, à proximité du parking de la cathédrale de Saint-Omer, situé légèrement en contre-bas du boulevard Vauban (Voir illustration).
On est dans la soirée. Le ciel est couvert et il tombe une pluie légère.
Le groupe d’individus constate soudain que les environs sont enveloppés d’un silence subit et total, qui nous fait immanquablement penser à un effet d’Oz, rapporté dans d’autres manifestations.
Ils regardent autour d’eux, sur le qui-vive, et observent alors incrédules l’arrivée à très basse altitude, estimée de l’ordre de quinze à vingt mètres d’une immense plateforme noire de forme triangulaire, avec à chaque angle une source lumineuse blanche et au centre de cette masse une source lumineuse rouge pulsante.
Les dimensions sont estimées à celles d’un stade de football ! C’est par conséquent gigantesque, et l’objet évolue à faible vitesse selon une trajectoire rectiligne et horizontale qui l’amène à survoler le groupe.
De par leur position, les témoins n’observent la structure volante qu’en contre-plongée.
Ils constatent médusés que leurs smartphones ne captent plus le réseau GSM et sont passés en hors service.
Le témoin qui nous rapporte les faits par l’intermédiaire de Romain L. nous précise avoir tenté de prendre des photographies de l’objet à l’aide d’un appareil qu’il avait sur lui ce soir-là. L’appareil refuse de fonctionner !
Il nous rapporte avoir discerné dans le sillage de l’objet une trainée lumineuse bleutée ainsi que des structures en relief couvrant la face ventrale de la structure triangulaire en train de les survoler à leur verticale, mais sans être en mesure de nous fournir des détails supplémentaires à ce propos.
L’objet accélère alors de façon fulgurante pour disparaître dans le lointain, sans donner le temps aux témoins d’observer distinctement sa face arrière et la source de la trainée lumineuse.
De part leur angle d’observation, et les dimensions gigantesques de l’objet qui les a survolés, ils n’ont pas été en mesure d’estimer l’épaisseur de l’objet, ni son aspect sur sa face postérieure.
Il convient de mentionner un détail curieux, à savoir qu’au moment où l’objet a disparu de leur champ de vision, le flash de l’appareil photo que tient en main notre témoin se déclenche à plusieurs reprises, comme si l’appareil avaient mémorisé les pressions exercées sur le déclencheur et réagissait avec un temps de retard !
Un physicien comme Philippe Guillemant pourrait être tenté d’interpréter ces faits étranges comme la conséquence de la mise en oeuvre d'une hyper-physique induisant la dilatation d’une macro-bulle quantique provoquée par l’OVNI dans son environnement, ce qui expliquerait aussi selon lui ce silence absolu (Effet d’Oz) qui accompagne certaines manifestations OVNI, ainsi que toute une série d’autres anomalies rapportées par les témoins, comme par exemple dans cette affaire, la perte de réception du réseau GSM sur les téléphones portables des témoins lorsque l’objet se trouve à proximité d’eux, ainsi que probablement le déclenchement de l'appareil photo et du flash avec un effet retard (Selon la théorie de Philippe Guillemant, la macro bulle quantique pourrait induire des distorsions spatio-temporelles, à l'exemple de témoins qui constatent que le moteur de leur véhicule semble s'être arrêté à l'approche de l'OVNI, et repartir tout seul, sans action du conducteur alors que l'OVNI s'éloigne. En fait, dans cette hypothèse interprétative, le moteur du véhicule ne se serait jamais arrêté, mais il y aurait eu une espèce de "gel" du temps pour ce qui est de la perception des témoins...).
Après cette digression, revenons à cette rencontre rapprochée du second type (Selon la classification Hynek). On peut en effet la ranger dans cette catégorie car il est attesté des interférences avec l'environnement, les équipements des témoins ainsi que ce silence absolu qui accompagne la manifestation.
Le témoin et les amis qui l’accompagnaient lors de cette observation mémorable n’ont pas ressenti d’effets particuliers, de sensations physiques (Comme des picotements, la sensation de chaud ou froid), hormis le silence de mort qui s’était subitement abattu sur le secteur au moment du passage de l’OVNI. Ils n’ont pas remarqué la présence d’autres témoins à proximité lors de leur observation.
Le témoin et ses amis n’ont fait aucune déposition auprès des autorités, et n’ont rien vu les jours suivants dans les médias locaux qui attesterait que d'autres personnes aient pu observer le passage de cet objet au-dessus de l’agglomération de Saint-Omer.
Illustrations:
Les lieux de l'observation
L'environnement des témoins et leur position sur le terrain
Un autre angle de vue
Reconstitution de l'observation d'après le témoignage