Compte rendu d’observation OVNI du 27 novembre 2017
Signalétique du cas:
M. Bruno B. est passionnée par tout ce qui touche au domaine de l’astronautique et en fait profiter ses élèves au travers d’exposés didactiques (Qu’il nous a été possible de consulter dans le cadre de l’enquête).
Le centre d'études de Cadarache est le plus grand centre de recherche et développement en Europe sur l'énergie nucléaire (la fission et la fusion), les nouvelles technologies de l'énergie et la biologie végétale. Il comprend 19 installations nucléaires de base (INB) et une installation de base secrète (INBS) et emploie en moyenne 5 000 personnes dont 2 400 salariés du CEA. Le reste de l'effectif est constitué d'agents d’AREVA, de l’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), et de celui des divers sous-traitants.
(Il est possible qu’à cette occasion d’autres témoins soient éventuellement découverts).
Narration des faits:
Le témoin principal est sorti à l’extérieur de son domicile, accompagné de son épouse, pour préparer son véhicule, car il doit remonter sur la région grenobloise pour ses obligations professionnelles. Il a alors son attention attirée par une forte lumière jaune dans le ciel, qui semble se rapprocher de sa position. La lumière se fige au bout de quelques secondes dans une position statique. Elle semble à ce moment là être positionnée à la verticale du site ITER qui est situé dans cette direction.
Sa hauteur angulaire par rapport à l’horizon est estimée à une dizaine de degrés.
Pour ce qui est de la taille apparente, le témoin l’évalue initialement à environ 3 cm à bout de bras.
Le calcul donnerait alors, selon la formule (Distance du phénomène x taille apparente) / longueur du bras = taille du phénomène, soit (9000 x 0,03) / 0,68 = 397 mètres!!!! (Remarque: 0,68m est la longueur du bras pris pour référence).
On peut considérer que l’une ou l’autre des données prises pour hypothèse de départ, distance du phénomène ou taille apparente, sont probablement largement surestimées.
Ce qui paraît le plus vraisemblable c’est que cela soit la taille apparente (Si on considère les photos disponibles).
Imaginons qu’elle est été surévaluée d’un facteur 3, on arrive encore à une taille de plus de 133 mètres pour la partie lumineuse, mais nous allons voir que l’étude détaillée des images va révéler une structure porteuse encore plus grande!!!
On peut donc également supposer que la distance est plus courte que celle envisagée initialement, d’autant qu’entre Gréoux-les-Bains et le site ITER, il y a une vaste plaine couverte de champs, qui serait un site plus approprié pour un atterrissage en toute discrétion, et auquel cas, on serait dans des fourchettes de distances de l’ordre de 3 à 4 kms.
Dans cette seconde hypothèse, le calcul de taille donnerait une dimension pour la source lumineuse de l’ordre de 44 mètres (On a pris dans ce cas une distance de 3 kms, et une taille apparente à bout de bras d’un centimètre).
M. Bruno B. et son épouse contemplent le spectacle, assez perplexes, se demandant de quoi il peut bien s’agir.
Aucun feu de signalisation réglementaire pour un aéronef n’est visible. Il n’y a pas de bruit particulier audible en provenance de cette source lumineuse. Leur chien, également présent à leurs côtés, ne manifeste aucune réaction particulière.
M. Bruno B. s’empare alors de son Smartphone, Samsung Galaxy S6, équipé d’un capteur de 16 mégapixels de résolution et il réalise 3 images respectivement à 18h36 et 47 secondes (Image 1), 18h36 et 52 secondes (Image 2), 18h36 et 58 secondes (Image 3). (Voir dossier photographies et leur analyse ci-après).
Le phénomène lumineux semble alors s’éloigner dans la direction d’où il est venu et disparait dans le lointain en quelques secondes, selon une trajectoire rectiligne, à l’opposée de la position du témoin, soit en direction sud-ouest, ce qui a dû l’amener à passer à proximité, voir survoler le site ITER, les installations du CEA de Cadarache, ainsi que le village de Saint-Paul-Lez-Durance.
Aucun bruit particulier n’est perçu en provenance du phénomène, que cela soit pour la phase statique, ou les phases de mouvement.
Les témoins ont alors la surprise de voir une seconde source lumineuse décoller du sol, d’une position approximativement située à verticale de celle où la première lumière avait stationné.
En moins de 3 secondes la lumière gagne la position précédemment occupée par la première lumière.
M. Bruno B. va alors réaliser 3 clichés supplémentaires, avant d’enchainer par une courte séquence vidéo d’une durée d’une minute et quatorze secondes au cours de laquelle cette seconde lumière se met en mouvement pour disparaître à son tour dans le lointain (Images réalisées respectivement à 18h38 et 2 secondes, 18h38 et 29 secondes et 18h38 et 57 secondes. Le film a démarré à 18h39 et 38 secondes).
L’intensité lumineuse semble connaitre quelques fluctuations, à moins que cela ne soit dû aux turbulences atmosphériques en basse couche. On peut dans la seconde moitié de cette séquence vidéo voir plusieurs flashs dans le ciel, dissociés de l’OVNI en cours d’éloignement. Peut-être sont-ils produits dans le lointain par le premier OVNI à moins qu’il ne s’agisse de bruit électronique ou autre artéfact, voir l’effet induit par le scintillement d’étoiles…
Il serait intéressant d’aller prospecter la zone des champs s’étendant au sud de Gréoux-les-Bains, en quête d’éventuelles traces au sol.
L’étude des images disponibles va révéler des détails fort intéressants, laissant entrevoir une structure porteuse possiblement en forme de soucoupe (!).
Au vu du rapport de proportions entre la partie éclairée et le reste de la structure sombre on peut spéculer sur une taille au moins trois fois plus importante, soit une fourchette entre 100 à 130 mètres dans le plan horizontal, compte tenu des diverses estimations de distances (Celles paraissant les plus plausibles, mais cela reste malgré tout très subjectif).
Quant à la lumière, on peut plutôt spéculer qu’il s’agisse d’un plasma peut-être en rapport avec un quelconque système de sustentation et propulsion plutôt qu’un gros phare. Quand on zoome fortement sur la lumière, on peut noter en périphérie comme des flammèches et avoir la sensation d’une espèce de tourbillonnement.
On note sur plusieurs clichés un faisceau ténu qui part de cette source lumineuse en direction du sol (Ce qui renforce le sentiment qu’il s’agit là d’un moyen de propulsion).
Pour ce qui concerne la direction d’arrivée et de départ du phénomène, on peut donc émettre, qu’à défaut d’avoir stationné directement à la verticale du chantier ITER, ou des installations mitoyennes du CEA à Cadarache, ces deux objets les ont probablement survolées.
Eu égard à la nature particulière et hautement sensible de ces deux sites (Même si pout ITER l’installation n’est pas encore opérationnelle), on ne manquera pas d’envisager la possibilité qu’il puisse s’agir là d’un nouvel épisode à verser au chapitre déjà très fourni des OVNI et du nucléaire.
Au vu des éléments révélés par l’analyse et les divers traitements appliqués aux images, on peut convenir que les objets ayant évolué ce soir là au sud de la commune de Gréoux-les-Bains ne sont pas conventionnels.
A chacun de se faire son opinion.
D’autres éventuels témoins pourraient contribuer à apporter un éclairage utile sur ces étranges manifestations.
Jeudi 30 novembre 2017.
Denis Alarcon
Enquêteur.