févr.
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Written by:
denis
04/02/2016 17:57
Nous avons été contactés ces jours derniers par Mme Nathalie
Hartz, qui nous a fait part des curieux clichés qu’elle a réalisés lors d’une
balade familiale dans le village de Gourdon le 31 janvier 2016.
Le village de Gourdon est perché sur un pic vertigineux de
760 m et surplombe la vallée du Loup. Cet emplacement lui a valu le surnom de «
Nid d'Aigle ». Il fait partie des 149 plus beaux villages de France.
Les prises de vue ont été réalisées depuis la placette donnant sur le précipice
(En bas à droite sur l'image ci-dessus)
Cette personne ayant eu l’amabilité de nous communiquer les
photographies par mail, nous avons pu les examiner afin de nous faire une
opinion.
Avec l’accord de Mme Hartz, nous publions ces documents qui
nous paraissent effectivement très
intéressants.
Les images ont été réalisées à l’aide de son smartphone
(Apple Iphone 5S) entre 15h17 et 15h18.
Nathalie Hartz, tout comme les personnes qui l’accompagnaient
n’ont pas perçu le phénomène à l’œil nu. Les images d’origine (Ni retouchées ni
recadrées) que nous avons obtenues étaient sous-exposées, mais laissaient déjà
clairement apparaitre des éléments pour le moins singuliers comme vous allez
pouvoir en juger par vous-mêmes.
Nous vous en livrons ci-après des versions pour lesquelles
nous avons corrigé les courbes de niveaux et le contraste afin de mieux faire
ressortir les détails, ainsi que des agrandissements.
Image n°1 (15h17)
Image n°2 (15h17)
Ces images sont intéressantes, car selon nous on peut
écarter l'hypothèse d'un artéfact optique (Par exemple un reflet parasite sur
les lentilles de l'objectif...).
On note effectivement la présence devant la falaise d'une
source lumineuse de couleur verte qui occupe un certain volume.
Cette source lumineuse se tient dans les airs, manifestement
à une relativement faible distance de celle-ci (Et non posée à flanc de falaise
comme on pourrait le penser à première vue).
Elle parait au début immobile si on considère sa position
sur les deux premiers clichés, réalisés dans la même minute, à 15h17, le 31
janvier 2016.
Image n°3 5 (Cadrage d'origine)
Image n°3 recadrée et courbes de niveaux corrigées.
Sur le troisième cliché, pris à 15h18 à l'aide de la
fonction panorama de l’IPhone 5S, on distingue cette fois deux lumières
positionnées côte à côte, dans un espacement resserré, et leur luminosité a
nettement augmenté par rapport aux deux premières images.
Bien que l’angle de prise de vue soit différent, on peut remarquer
que la manifestation est cette fois plus proche, et à une altitude supérieure
en prenant divers points de repères sur le relief en arrière plan. Nathalie
Hartz s’est en effet déplacée sur la gauche, le long du parapet surplombant le
précipice.
On peut déduire que cette luminosité est produite par les
"boules", car elles se trouvent dans l'ombre de la falaise, si on
considère la position du soleil dans le ciel à cette heure de la journée.
En zoomant dans les images, on peut même relever un effet de
"blooming" autour de ces sources lumineuses (Halo). C'est un détail
intéressant.
Zoom image n°2
Zoom image n°3
Cette augmentation d'intensité lumineuse entre les 2
premières images et la troisième est-elle consécutive à un possible
déplacement, si on émet l'hypothèse qu'au moins une de ces lumières occupait la
position précédente?
Comme Mme Hartz et les personnes qui l’accompagnaient n’ont
pas observé à l'œil nu ces manifestations, la question reste posée, ce qui
rajoute au mystère de leur origine, dont nous écartons qu'elle puisse être
consécutive à un artéfact optique ou électronique.
On peut parler de "photos surprises" pour
reprendre une terminologie à laquelle nous avons eu fréquemment recours pour
commenter nos propres photographies réalisées sur ce secteur des Alpes
maritimes.
En examinant en détail les "boules", on peut
remarquer qu'elles ne sont pas tout à fait sphériques, et on pourrait avoir
l'impression de la présence de facettes, un peu à la manière d'une espèce de
parallélépipède aux surfaces convexes.
Le phénomène ayant été photographié depuis une position plus
élevée, on peut également noter que la partie sommitale de ces
"boules" est plus claire / ou lumineuse par rapport au reste de la
surface.
C'est très étrange, et ne correspond pas à un aéronef
conventionnel.
S'il c'était agi de ballons, les personnes présentes n’auraient
pas manqué de les observer.
Pour nous, ces clichés révèlent un phénomène très curieux,
peut-être à mettre en correspondance avec toutes les autres manifestations
insolites dont cette région de l'arrière pays niçois est fertile.